Un chevalier blanc en route pour Tintagel.

En Orcanie, bien sûr... et le pauvre Gauvain qui devait airer avec Yvain et Démétra elle ne savait où. Guenièvre espérait qu'ils ne leurs étaient rien arrivé de grave. Elle fixait l'orcanienne et remarquait que celle ci avait beaucoup trop les yeux sur Ewan! Pour Guenièvre il était hors de question qu'elle y touche, elle connaissait la réputation de sa demi belle-soeur et elle ne pourrait pas laisser faire ça.
Ewan était quelqu'un de très gentil, il était certes du côté de Lancelot, mais Anna n'y toucherai pas, même si L'ancienne Reine devait y laisser sa vie!

Votre jeune compagnon sait-il qui vous êtes?

La femme se sentit remplie de peur et fut quelque peu déstabilisée, la Reine d'Orcanie avait découvert son secret et maintenant elle ne se gênerait plus pour la dénoncer. Elle se mordit la lèvre et baissa la tête en signe de soumission. Guenièvre répondit d'une voix encore plus base, souhaitant que la réponse n'arrive jamais jusqu'aux oreilles d'Anna:

- Nan...

Elle cacha ses mains car elle commençait à avoir très froid, et remis au mieux son sac sur son épaule. Lorsqu'elle était se sentait un peu coupable Guenièvre jouait avec ses doigts. Elle voulu supplier Anna, mais n'en avait pas l'envie et que penserai Arthur de sa femme si elle s'abaissait devant cette " Salope Model Géant" d'après ses propres mots, peut-être la renierait il ou demanderait il le divorcé?

Guenièvre fixa Anna du regard, elle n'avait à vrai dire aucune expression à ce moment là, elle savait qu'Anna allait la dénoncer ou ire lui faire du chantage, même si ce n'était pas dans son caractère de faire cela. Elle ne trouva pas d'autre mot à dire. Arthur était en vie, cela était tout ce qu'elle était venue chercher, elle pouvait repartir sereine et pleine d'espoir. Elle ne savait pas encre ce qu'elle allait faire rester et s'excuser auprès des personnes qu'elle avait insulté et demander pardon à Cryda pour l'avoir traitée de "Grosse gouine", ou alors repartir sans rien demander à personne.

En guise de réponse, Guenièvre secoua la tête et murmura un tout petit " Nan ". Anna, très satisfaite, lui sourit froidement. Il était plus qu'évident qu'elle avait mentit sur son identité. L'orcanienne savourait cet instant jouissif. Si l'envie lui prenait, elle pouvait dénoncer sa belle-demi sœur. Cette dernière finirait très certainement dans les cachots de Kaamelott. Lancelot ne se priverait pas de la laisser moisir là-bas, vu qu'elle l'avait abandonné. Quelle ironie! Il était vrai qu'Anna aurait aimé se venger de son frère en livrant Guenièvre au nouveau Roi, mais elle sentait que cet acte n'était pas assez fort pour montrer toute la rancœur qu'elle éprouve envers Arthur.
La Reine d'Orcanie observait la fille de Léodagan. Celle-ci était très effrayée. On voyait bien qu'elle craignait qu'Anna la dénonce au Chevalier Ewan. Elle la suppliait du regard de ne pas le faire. L'orcanienne songea que cette aspect de Guenièvre était en total contradiction avec leur dernière rencontre qui remonte à il y a un peu près un an. Elle avait mis hors d'état de nuire Loth et Anna, à coups de pelle, lorsque ces derniers avaient tenté d'assassiner Arthur. Cette fois-ci, la Reine allait faire d'une pierre de coup, car elle savait que quand elle aurait l'occasion d'accomplir sa vengeance, Guenièvre serait blesser au plus profond de son âme.

Anna afficha sur ses lèvres un splendide rictus.

- Je ne compte pas vous dénoncer maintenant. J'ai trouvé un autre moyen de vous faire payer l'humiliation de la dernière fois. Ne vous inquiétez pas pour ça.

Son interlocutrice eut un air ahuri. C'était exactement ce que l'orcanienne souhaitait. Qu'elle angoisse sous la menace.

- Mais je vous conseille de décarrer vite fait, et de retourner dans votre bled de péquenots.

Je ne compte pas vous dénoncer maintenant. J'ai trouvé un autre moyen de vous faire payer l'humiliation de la dernière fois. Ne vous inquiétez pas pour ça.

Guenièvre ne savait pas de quoi parlait Anna, mais venant d'elle cela ne pouvait être qu'abominable. L'ancienne Reine savait que l'Orcanienne était remplie de rencoeur. Il n'y avait qu'ne seule chose qui pouvait atteindre la femme au plus profond de son être: Arthur.

Anna lui conseilla vivement de retourner dans son pays. Ce qui était sûr pour le moment c'est que ce n'était pas elle qui allait l'offrir à Lancelot. Elle se demandait si ce n'était pas mieux de se rendre directement au chevalier Blanc, peut-être aurait elle le droit de retourer dans sa chambre, avec un peu de chance lancelot n'aurait pas fait tout bruler.

La jeune femme retourna auprès d'Ewan, elle lui prit la main. Guenièvre n'était pas quelqu'un à raconter des histoires.
Elle se tourna une dernière fois vers Anna, elle ne savait pas ce qu'elle allait trafiquer mais elle préférait partir maintenant.

- Elle dit que Arthur à disparu, il n'est plus ici.

Elle baissa la tête, Guenièvre ne savait si elle devait lui avouer son mensonge et lui dire son vrai nom.
A vrai dire, elle s'en fichait un peu, à ce moment là ses pensée n'allait que vers son époux qui lui manquait terriblement et avec lequel elle aurait tant aimer être.

En sortant de ses pensées elle vue qu'elle tenait le chevalier par les mains. Elle l'observa, se demandant pourquoi elle avait fait ça. Surment dans l'émotion, oui cela devait être ça, quoi d'autre? Guenièvre lâcha les mains du chevalier et remonta son meanteau jusqu'à son nez comme pour se cacher.

Tout au long de la conversation entre les deux femmes, le chevalier était resté un peu en arrière. Il voyait bien qu’elles se connaissaient, peut-être était-elle la fameuse personne que sa compagne de voyage était venue voir ? Pourtant, son visage lui était familier. Il la connaissait, mais étrangement à ce moment précis, il ne parvenait pas à se souvenir de qui elle était. D’où il était, il tentait de comprendre ce qu’il se disait, observant leurs réactions, les expressions de leurs visages.
Il s’apprêtait à les rejoindre, mais « Jenifer » fit alors demi-tour et arriva à ses côtés, et sans même qu’il ne comprenne vraiment ce qui était en train de se passer, elle lui prit la main, et lui annonça que le fils Pendragon n’était plus ici. Mais où pouvait-il bien se trouver ? Lancelot avait envoyé des hommes sur tout le territoire de Logres, personne ne l’avait vu. Il devait avoir trouvé quelqu’un pour le cacher.

Levant les yeux vers la jeune femme, il remarqua qu’elle ne pouvait cacher une certaines tristesse. Il savait qu’Arthur était un Roi apprécié par beaucoup à l’époque. Puis il porta son regard vers sa main, toujours dans celle de « Jenifer ». Reportant ses yeux vers elle, il remarqua qu’elle était dans ses pensées et ne devait pas trop se rendre compte de la situation. Ewan toussa légèrement, ce qui la fit sortir de ses pensées et lui lâché sa main.

Remarquant la gêne de la demoiselle, il décida de briser le silence.

- Allez-vous rester ici ? Je dois rentrer à Kaamelott, si vous avez besoin d’une escorte …

L'ancienne Reine savait que le chevalier en face d'elle avait des doutes sur son identité,elle savait aussi que tôt ou tard elle serait démasqué, d'autant plus si Anna rejoingnait Kaamelott celle-ci lui ferait vivre l'enfert, elle savait cela avec assez de certitude.
Le jeune homme la regardait, il avait remarqué le petit malaise qui c'était installé et annocait qu'il repartai pour Kaamelott. Guenièvre se dit que puisqu'elle n'avait plus de vrai chez elle, enfin que son père ne voudrait plus d'elle e qu'arthur partit, Kaamelott n'était plus chez elle. Il ne l'avait jamais été cela dit, car Arthur lui avait toujours refusé une chambre, refusé, dans le sens ou il ne voulait pas qu'elle est de chambre à elle. Il n'avait jamais vraiment été très gentil avec elle. Tout le temps de leur mariage il n'avait cessé de l'abbaisser et de la vanner au point qu'elle en avait marre et partit rejoindre l'homme qui lui ferait vivre une belle aventure qui n'était en faite pas très drôle et surtout ennuyeuse et triste.

- Je m'appelle pas Jenifer.

Elle pris une profonde respiration et soufflait. Guenièvre allait se donner à l'ennemi, elle n'avait pas d'autre choix puis au moins elle aurait un endroit où dormir. Même si elle devait se retrouver dans une goêle ou un cachot elle aurait un toit au dessus de la tête.
La femme se sentait un peu ridicule de faire ça, mais c'était une solution comme une autre et puis peut-être que si ellese rendait, Lancelot bien qu'il ne soit plus vraiment lui même, lui laisserait la vie sauve.

- Si j'ai mentit tout à l'heure, c'est parce que j'avais peur de ce vous alliez me faire. Il fallais que je sache pour Arthur, j'suis terriblement inquiète depuis l'annonce de sa mort. Je suis venue la dernière fois pour lui rendre hommage et quand j'ai su qu'il était encore en vie je me suis mise à insulter tout le monde...

Guenièvre s'arrêtait de parler. Elle se demandait si Arthur n'était pas retourné à Rome. C'était le seul endroit où Lancelot n'irait pas cherché. Si cela ce trouvait êre vrai, son mari était vraiment un homme très rusé. Ca elle n'en doutait pas, d'ailleus elle n'en avait jamais douté!
La jeune femme à la peau blanche fixait les yeuxde l'homme:

- Je suis la femme d'Arthur.
Maintenant vous pouvez bien m'emmenez à Lancelot, ça ne me fera rien, parce que Arthur est encore en vie.

Ewan ne s’attendait pas une telle réponse. « Je ne m’appelle pas Jennifer. » Pourquoi lui disait-elle cela ? Pourquoi maintenant ? Il savait depuis le début qu’elle cachait quelque chose, surtout depuis qu’elle avait dit ne pas vouloir parler d’elle. Et voilà qu’elle allait avouer sa véritable identité ? La discussion qu’elle avait eût avec la femme qui l’avait accueillie en arrivant à Tintagel en était peut-être la raison. Mais il avait voulu se montrer poli et n’avait pas écouté la conversation entre les deux personnes.
Le chevalier la regarda donc avec un regard interrogateur, attendant qu’elle continue son explication. Pendant ce court instant, avant qu’elle ne dévoile son identité, beaucoup de questions, de suppositions lui passèrent par la tête. Peut-être était-elle une princesse. Si elle était la fille d’un allié du Roi, dans ce cas il n’aurait qu’à l’escorter jusqu’à chez elle. Mais ses révélations suivantes enlevèrent cette éventualité. Si elle avait eût peur, elle devait avoir quelque chose à se reprocher. Qu’avait-elle donc fait, qui était-elle pour avoir donné une fausse identité à un Chevalier du Roi ? Avant qu’elle ne puisse continuer, il préféra préciser :

- Sachez que je ne fais pas de mal à une jeune femme, qui qu’elle soit. C’est un principe de Chevalier.

C’était vrai, Ewan avait un total respect envers les femmes, qu’elles soient ennemi ou non. Pour lui, c’était l’une des valeurs principales d’un chevalier. Même si dans ce cas, il comprit que celle qui était en sa compagnie devait être très proche du fils Pendragon.
Il lui fit ensuite un signe de tête, pour qu’elle continue et lui dise qui elle était vraiment. Lorsqu’elle lui annonça qu’elle était la femme d’Arthur, Ewan resta un moment sans rien dire, à la fixer, étonné. Comment avait-il pu être en compagnie de Guenièvre sans même le savoir ? Il se sentit très idiot, maladroit. Trop de choses lui passaient par la tête. Il devait faire son devoir et la conduire à Lancelot, mais en même temps, il se demandait bien ce que ce dernier comptait faire lorsqu’il la verrait. Il n’avait jamais pensé à cette situation. Mais le fait est que le Gallois avait confiance en son Roi et savait qu’il prendrait la bonne décision.
Il finit par briser le silence, et répondit enfin :

- Je vous avais proposé une escorte. Maintenant je me vois dans l’obligation de vous escorter jusqu’à Kaamelott, pour vous conduire auprès de Sire Lancelot.

Après tout, c’était son devoir.

- Sachez que si votre mari n’est plus ici, je ne doute pas que nous finirons bientôt par le retrouver …

- Je comprends.

L'ancienne Reine si attendait. Il faisait son devoir de chevalier. Ô bien sûr elle aurait cru qu'il aurait fait un geste vu qu'il n'était pas bien méchant, mais qui sait ce que Lancelot lui aurait fait subir s'il ne l'emmenait pas jusqu'à lui. Arthur lui était beaucoup plus clément avec ses hommes, quoi qu'elle ne savait pas comment Lancelot était avec ses chevaliers.

Avait il une femme? L'avait il remplacer? L'aimait il seulement encore? Guenièvre se posait un tas de question, cela faisait tellement longtemps qu'elle ne l'avait pas vue. Longtemps. Elle l'avait quand même vue dans les couloirs de se château sans lui adresse la parole. Leurs regards c'étaient furtivement croisé. La jeune femme n'avait pas eu le courage de le regarder dans les yeux. D'ailleurs il faisait partit des gens qu'elle avait envoyer chier pour passer devant les autres. De toute façon ils avaient juste le droit de se taire puisqu'elle était sa femme!

Sachez que si votre mari n’est plus ici, je ne doute pas que nous finirons bientôt par le retrouver …

Elle ne savait pas comment prendre cette phrase. Elle eut un demi-sourire, mais l'enlevait après quelques secondes après.
Arthur avait de la jugeotte, il ne se laisserai pas prendre comme cela, même si les hommes de Lancelot étaient agiles et forts, lui il possédai ce petit plus qu'aucun au Royaume de Logres n'avait. Il était cultivé et connaissait beaucoup de chose, des technique de guerre d'hier à aujourd'hui, et lorsqu'il brandissait Excalibur, l'on pouvait voir toute sa puissance!
Les Dieux l'avaient choisit ce n'était pas pour rien! Il était l'Elu, il ne fallait pas l'oublier!

Guenièvre n'avait qu'une seule hâte, qu'il revienne. Ils faudrait que tous les deux ailles une discussion. Mais pas le genre de discussion qu'ils avaient d'habitude et qu'Arthur finissait par aller dormir avec une autre ou dans la grange!
Une discussion de couple. Homme/Femme. Puis bien qu'elle n'avait pas pu reprendre ce qui lui appartenait et ce que son père lui avait pris, il fallait qu'Arthur lui parle de son premier mariage. Jusque là cette histoire ne l'avait pas vraiment obsédée, mais elle ne pouvait pas ne pas savoir. Notamment qui était cette femme, s'il avait eu des enfants. Oui car s'il était repartit à Rome comme elle le pensait, peut-être l'avait il revu.

- Vous allez pas me mettre des chaînes?

Demandait elle soudainement.

- Je voudrais pas faire honte à mon époux.

En avouant ces mots là, elle pensait surtout à la réputation qu'allait lui faire cette connasse d'Anna si elle voyait sa belle-soeur se faire menotter par un petit minet comme ce jeune homme. Guenièvre souhaitait quand même en rester à la grosse conne pas capable de bouger son cul pour son pays. C'était déjà beaucoup. Elle en souffrait en silence, mais elle avait un peu plus de mal à se contenir, enfin à prendre sur elle ces derniers temps.
La jeune femme ne se laissait plus insulter de la sorte aujourd'hui. La petite fille était devenue grande, mais si elle n'avait jamais vraiment été petite fille, puisqu'elle avait vécu la guerre depuis presque toute sa vie d'enfant. Disons qu'elle avait tenter d redevenir petite fille pour ensuite avoir une vie de plus normal. Bien que dans Reine de Bretagne, il n'y avait pas de normal.

Des chaînes ? Sur une femme, jamais cela ne viendrai à l’idée du Chevalier. Il avait toujours été très respectueux envers la gente féminine, il avait été élevé ainsi. Son père lui avait appris les bonnes valeurs, et en tant que chevalier, il se devait de les respecter. Et là, il s’agissait de l’ancienne Reine du Royaume, jamais il n’aurait osé la menotter. Et puis, il ne savait trop pourquoi, il avait l’impression qu’on ne pouvait que lui faire confiance. Peut-être ne devrait-il pas, mais pour le moment, il ne voyait pas pourquoi.

- Je n’en vois pas l’utilité.

Et comme pour se donner un air un peu plus « sérieux », il ajouta :

- De toute façon, vous n’allez pas fuir, je vous rattraperai, et j’ai une arme.

Arme qu’il n’utiliserai certainement pas contre elle, mais elle ne pouvait pas le savoir. Jamais encore il n’avait frappé une femme. Et puis quoi encore ? Pourquoi ne pas tuer un enfant innocent aussi.

- Et je doute que votre mari apprenne ce qui se passe …

En revanche, Ewan se demandait bien comment réagirai Lancelot au retour de la femme qu’il aimait. Comment la traiterait-il ? Il savait que c’était un homme juste, il prendrait donc la bonne décision. Et puis, il serait certainement fier de lui. Certes, il était partit à la recherche d’Arthur, et ne l’avait pas trouvé. Mais il revenait avec sa femme, ce n’était quand même pas si mal.

- Maintenant allons-y, la route sera longue.

Et sans attendre de réponse de la part de la jeune femme, il prit la direction de Kaamelott.

Le Chevalier semblait avoir confiance en Guenièvre. Elle était aussi et sans doute l'une des seules femmes de Bretagne en qui il pouvait avoir confiance. Ewan n'en voyait pas l'utilité, la femme ne le connaissait peut-être pas encore assez, mais se rassurait en penssant qu'il ne lui ferai aucun mal.
Fuir un homme armé n'était pas specialement une bonne chose, surtout s'il était un homme de Lancelot. Si son épée le lui avait été donné par les mains de son Roi actuel, il se pouvait qu'il soit violent?

-Ah! oui une arme... c'est pas très engagent pour prendre la fuite.

Arthur ne pas apprendre se qui se passe, peut-être maintenant mais quand il l'apprendra... quand il l'apprendra il dira que c'était de sa faute et qu'elle aurait mieux fait de rester en Carmélide. Arthur avait toujours ou pratiquement toujours des phrase toute faite et remettait s'en cesse tout sur la faute des autres et nottament sa femme. Il le savit et le lui avait avouer, et la simple réponse de Gueniève fut '"Et ben c'est pas gentil".
Elle n'avait pas été choqué, juste triste et déçu.

Maintenant allons-y, la route sera longue.

Il partit sans même attendre la réponse de Guenièvre, elle ne dit rien et le suivit la tête basse.

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