Quite Life? [Placidu Sampiero]

Iaona passa prêt des arênes romaines. Enfaites tout le truc était romain, donc pas beoisn de signaler que c'est romain, et ça avait le don d'éxaspérait la voyante. Une fois rentrait, elle eu à peine le temps de mettre un pied sur la premère marche, qu'une vision lui vint.
Un homme vêtu de noir. Ce n'était pas Méléagant, après toute ces années à son service, elle l'aurait reconnut malgré la capuche sur sa tête. Lui avait une façon spéciale de se déplacer. Puis l'homme parla à un couple. L'homme elle l'avait déjà vu dans une autre vision, mais pas la femme. Il se douta bien vite de qui ils pouvaient s'agir. L'homme en capuche,s'était Arthur Pendragon, son ami se prénomait Mani'; c'est ainsi que l'ancien roi l'avait appelé! Ils étaient face à une villa! Sa vision s'arrêta sur ses mots: "On est enfin prêt à partir Arthurus. Le bâteau part dans une heure! Il faut y aller maintenant"
Iaona revint à elle. Elle reprit ses esprits, et un peu plus de contenance. Ces visons la fatiguée de plus en plus. Elle s'asseilla donc un moment, pour analyser la situation, et reprendre une respiration normale. la dame resta un moment assise, puis lorsqu'elle se releva, elle aperçut un jeune homme, fort mal habillé! Iaona décida de repartir, mais le jeune omme était devant ele, elle ne vouvait donc pas l'éviter!

-Bonjour!

Jeune homme... Si c'est de Placidu qu'on parle, il est du même âge que Venec, alors on sait pas trop si c'est de lui qu'uon parle, parce que, mal habillé il l'est. ou plutôt ses vêtements ont souffert du voyage, le manteau n'est plsu noir, mais d'un gris sale et une barbe de quelque jours orne sa belle petite gueule d'ange.

Donc, effectivement, il peut passer pour crade, très crade. Il vient de revenir de Rome, donc ca s'explique. Il allait mener directement une petite affaire urgente quand il tombe sur la demoiselle.

Une bourge, certainement une bourge. Ca se voit juste à la facon dont elle lève son nez fin sur sa personne.

Bonjour

Un sourcil noir se hausse tandis que l'oeil gris du corse la regarde d'un air amusé. Il va lui montrer lui comment un homme du monde s'exprime.

Veuillez me aprdonner gente dame, mais votre présence m'a indubitablement attiré ici et maintenant, malgré la malséance de mon geste, je me trouve dans l'impossibilité de vous laisser le chemin aussi galamment qu'il se doit pour une femme de votre qualité, tellement je suis désorienté par votre beauté.

Et sans lui demander son avis, le Corse lui fait un baise-main.

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